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Affiche signée Enki Bilal : Tintouin au Tibet
REF : BILAL-OFF-72
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Affiche d'Art signée et numérotée sur 250 exemplaires d'Enki Bilal : Tintouin au Tibet
Le titre est tout à la fois un jeu de mots faisant référence à Tintin au Tibet et en même temps ça dit l'agitation de la répression au Tibet, par la Chine, occupante.
Support : papier satiné épais 250g/m².
Dimensions : 70 x 50 cm
Découvrez l'artiste
BILAL Enki
Enki, né Enes BILAL voit le jour à Belgrade, en Ex-Yougoslavie. Mais c'est à Paris, qu'il rejoint avec toute sa famille, en 1960, que naît sa passion du dessin.
A 20 ans, il fait ses premiers pas à Pilote, magazine bd qui a permis l'éclosion de toute une génération de dessinateurs. Il y croise Pierre Christin, scénariste des Valérian de Mézières, avec qui il créé ses premières grandes bandes dessinées, notamment Les Phalanges de l'Ordre noir (1979) et La Partie de Chasse (1983).
Bien qu'il collabore encore avec d'autres, Bilal assume, à partir des années 80, aussi bien le dessin que l'écriture de ses oeuvres, comme par exemple pour la Trilogie Nikopol. Dans le même temps, il s'aventure pour la première fois au cinéma et réalise Bunker Palace Hotel.
Les années 90 de Bilal sont empreintes de romantisme, couplée, techniquement, à une utilisation généreuse de la gouache. Son style en est fortement impacté.
La Tétralogie du Monstre occupe les années 2000, tout comme son film Immortel Ad Vitam, qui représente, côté cinéma, une sorte d'aboutissement de son travail (aussi bien narratif que visuel).
Impacté par la déliquescence de la planète, il entame, par Animal'z, un cycle écologique dans son propos et très épuré dans sa forme.
Il est le premier bédéiste dont les oeuvres vendues aux enchères s'arrachent à prix d'or, faisant ainsi de lui le lien entre BD et art moderne.
BILAL Enki
Enki, né Enes BILAL voit le jour à Belgrade, en Ex-Yougoslavie. Mais c'est à Paris, qu'il rejoint avec toute sa famille, en 1960, que naît sa passion du dessin.
A 20 ans, il fait ses premiers pas à Pilote, magazine bd qui a permis l'éclosion de toute une génération de dessinateurs. Il y croise Pierre Christin, scénariste des Valérian de Mézières, avec qui il créé ses premières grandes bandes dessinées, notamment Les Phalanges de l'Ordre noir (1979) et La Partie de Chasse (1983).
Bien qu'il collabore encore avec d'autres, Bilal assume, à partir des années 80, aussi bien le dessin que l'écriture de ses oeuvres, comme par exemple pour la Trilogie Nikopol. Dans le même temps, il s'aventure pour la première fois au cinéma et réalise Bunker Palace Hotel.
Les années 90 de Bilal sont empreintes de romantisme, couplée, techniquement, à une utilisation généreuse de la gouache. Son style en est fortement impacté.
La Tétralogie du Monstre occupe les années 2000, tout comme son film Immortel Ad Vitam, qui représente, côté cinéma, une sorte d'aboutissement de son travail (aussi bien narratif que visuel).
Impacté par la déliquescence de la planète, il entame, par Animal'z, un cycle écologique dans son propos et très épuré dans sa forme.
Il est le premier bédéiste dont les oeuvres vendues aux enchères s'arrachent à prix d'or, faisant ainsi de lui le lien entre BD et art moderne.
BILAL Enki
Enki, né Enes BILAL voit le jour à Belgrade, en Ex-Yougoslavie. Mais c'est à Paris, qu'il rejoint avec toute sa famille, en 1960, que naît sa passion du dessin.
A 20 ans, il fait ses premiers pas à Pilote, magazine bd qui a permis l'éclosion de toute une génération de dessinateurs. Il y croise Pierre Christin, scénariste des Valérian de Mézières, avec qui il créé ses premières grandes bandes dessinées, notamment Les Phalanges de l'Ordre noir (1979) et La Partie de Chasse (1983).
Bien qu'il collabore encore avec d'autres, Bilal assume, à partir des années 80, aussi bien le dessin que l'écriture de ses oeuvres, comme par exemple pour la Trilogie Nikopol. Dans le même temps, il s'aventure pour la première fois au cinéma et réalise Bunker Palace Hotel.
Les années 90 de Bilal sont empreintes de romantisme, couplée, techniquement, à une utilisation généreuse de la gouache. Son style en est fortement impacté.
La Tétralogie du Monstre occupe les années 2000, tout comme son film Immortel Ad Vitam, qui représente, côté cinéma, une sorte d'aboutissement de son travail (aussi bien narratif que visuel).
Impacté par la déliquescence de la planète, il entame, par Animal'z, un cycle écologique dans son propos et très épuré dans sa forme.
Il est le premier bédéiste dont les oeuvres vendues aux enchères s'arrachent à prix d'or, faisant ainsi de lui le lien entre BD et art moderne.
BILAL Enki
Enki, né Enes BILAL voit le jour à Belgrade, en Ex-Yougoslavie. Mais c'est à Paris, qu'il rejoint avec toute sa famille, en 1960, que naît sa passion du dessin.
A 20 ans, il fait ses premiers pas à Pilote, magazine bd qui a permis l'éclosion de toute une génération de dessinateurs. Il y croise Pierre Christin, scénariste des Valérian de Mézières, avec qui il créé ses premières grandes bandes dessinées, notamment Les Phalanges de l'Ordre noir (1979) et La Partie de Chasse (1983).
Bien qu'il collabore encore avec d'autres, Bilal assume, à partir des années 80, aussi bien le dessin que l'écriture de ses oeuvres, comme par exemple pour la Trilogie Nikopol. Dans le même temps, il s'aventure pour la première fois au cinéma et réalise Bunker Palace Hotel.
Les années 90 de Bilal sont empreintes de romantisme, couplée, techniquement, à une utilisation généreuse de la gouache. Son style en est fortement impacté.
La Tétralogie du Monstre occupe les années 2000, tout comme son film Immortel Ad Vitam, qui représente, côté cinéma, une sorte d'aboutissement de son travail (aussi bien narratif que visuel).
Impacté par la déliquescence de la planète, il entame, par Animal'z, un cycle écologique dans son propos et très épuré dans sa forme.
Il est le premier bédéiste dont les oeuvres vendues aux enchères s'arrachent à prix d'or, faisant ainsi de lui le lien entre BD et art moderne.
BILAL Enki
Enki, né Enes BILAL voit le jour à Belgrade, en Ex-Yougoslavie. Mais c'est à Paris, qu'il rejoint avec toute sa famille, en 1960, que naît sa passion du dessin.
A 20 ans, il fait ses premiers pas à Pilote, magazine bd qui a permis l'éclosion de toute une génération de dessinateurs. Il y croise Pierre Christin, scénariste des Valérian de Mézières, avec qui il créé ses premières grandes bandes dessinées, notamment Les Phalanges de l'Ordre noir (1979) et La Partie de Chasse (1983).
Bien qu'il collabore encore avec d'autres, Bilal assume, à partir des années 80, aussi bien le dessin que l'écriture de ses oeuvres, comme par exemple pour la Trilogie Nikopol. Dans le même temps, il s'aventure pour la première fois au cinéma et réalise Bunker Palace Hotel.
Les années 90 de Bilal sont empreintes de romantisme, couplée, techniquement, à une utilisation généreuse de la gouache. Son style en est fortement impacté.
La Tétralogie du Monstre occupe les années 2000, tout comme son film Immortel Ad Vitam, qui représente, côté cinéma, une sorte d'aboutissement de son travail (aussi bien narratif que visuel).
Impacté par la déliquescence de la planète, il entame, par Animal'z, un cycle écologique dans son propos et très épuré dans sa forme.
Il est le premier bédéiste dont les oeuvres vendues aux enchères s'arrachent à prix d'or, faisant ainsi de lui le lien entre BD et art moderne.