Cartes postales collector Philippe Druillet

DRUILLET Philippe

Philippe DRUILLET est un dessinateur et scénariste français de bande dessinée.
Né à la fin de l’Occupation Allemande, de deux parents fascistes, Philippe Druillet passe sa prime enfance en Allemagne puis en Espagne, où ses parents se sont enfuis pour échapper aux condamnations pour collaboration auxquelles leurs actions les ont exposés. Ce n’est que plus tard que Druillet découvrira ce lourd passé familial.
A la mort de son père, en 1952, il rentre en France, remplit ses cahiers de dessins, adore le cinéma des années 30, découvre la science-fiction… En résumé, il forme le futur artiste qu’il va devenir ! D’abord photographe, c’est au Service Cinématographique des Armées qu’il sert son pays entre 1964 et 1965, il s’oriente ensuite vers le dessin.
Sa première bande dessinée paraît chez Losfeld en 1966 : Le Mystère des adîmes met en scène celui qui sera son héros de toujours Lone Sloane. Ce premier opus lui permet de devenir illustrateur, notamment pour des couvertures de romans policiers ou de science-fiction.
En 1969, il publie les premières planches d’Yragaël (mettant toujours en scène Lone Sloane) dans Pilote. Il introduit des décors réalisés en images de synthèse, apporte un côté baroque et flamboyant à son style, tout en inventant des mises en page modernes. En désaccord avec la ligne éditrice de Pilote (et notamment avec Gosciny), il fonde le mensuel Metal Hurlant et la maison d’édition Les Humanoïdes Associés avec Jean Giraud et Jean-Pierre Dionnet, en 1974.
L’album La Nuit est un ovni dans l’oeuvre de Druillet, lui-même déjà ovni dans la BD !
Désespéré, anarchiste, nihiliste, nietzschéen dans sa description d’une humanité en perdition, assommée par la drogue, et n’ayant plus d'échappatoire possible, le monde de La Nuit est proche de la fin. Dans le même temps où il écrit et dessine cette histoire, Druillet accompagne sa femme prisonnière d’une maladie dont l’issue sera fatale. Cette trajectoire parallèle entre une souffrance toute personnelle et une œuvre artistique conséquente aidera Druillet à exorciser sa douleur et conférera à la BD une place unique.
La Nuit, par son aspect personnel, demeure une bande dessinée hors normes dans le travail de Druillet. Mais c’est aussi par son découpage efficace et la teneur chromatique revisitée que cette bande dessinée a durablement impacté la BD française d’anticipation.
En 1980, Druillet revient avec une trilogie inspirée de Salammbô de Flaubert. Reprenant l’histoire de la Guerre des Mercenaires (qui opposa la ville de Carthage aux Mercenaires barbares qu’elle avait engagés lors de la première des Guerres Puniques, et qui mécontents de leur solde, décidèrent de se retourner contre elle), Druillet fusionne son héros Lone Sloane avec le héros barbare de Flaubert Mathô, chef des mercenaires Libyens, qui veut détruire Carthage et séduire Salammbô, princesse et fille du roi.
Après Salammbô (et son succès), Druillet se diversifie et créé des séries télés d’animation, réalise des clips vidéo, des décors pour le cinéma et la télé, travaille sur un opéra-rock, etc
Eclectique, touche à tout férocement moderne et novateur, Philippe Druillet est un inventeur constant, armée d’une culture visuelle impressionnante, ce qui lui confère cette capacité à évoluer sans encombre dans plusieurs domaines et de savoir les mêler !

DRUILLET Philippe

Philippe DRUILLET est un dessinateur et scénariste français de bande dessinée.
Né à la fin de l’Occupation Allemande, de deux parents fascistes, Philippe Druillet passe sa prime enfance en Allemagne puis en Espagne, où ses parents se sont enfuis pour échapper aux condamnations pour collaboration auxquelles leurs actions les ont exposés. Ce n’est que plus tard que Druillet découvrira ce lourd passé familial.
A la mort de son père, en 1952, il rentre en France, remplit ses cahiers de dessins, adore le cinéma des années 30, découvre la science-fiction… En résumé, il forme le futur artiste qu’il va devenir ! D’abord photographe, c’est au Service Cinématographique des Armées qu’il sert son pays entre 1964 et 1965, il s’oriente ensuite vers le dessin.
Sa première bande dessinée paraît chez Losfeld en 1966 : Le Mystère des adîmes met en scène celui qui sera son héros de toujours Lone Sloane. Ce premier opus lui permet de devenir illustrateur, notamment pour des couvertures de romans policiers ou de science-fiction.
En 1969, il publie les premières planches d’Yragaël (mettant toujours en scène Lone Sloane) dans Pilote. Il introduit des décors réalisés en images de synthèse, apporte un côté baroque et flamboyant à son style, tout en inventant des mises en page modernes. En désaccord avec la ligne éditrice de Pilote (et notamment avec Gosciny), il fonde le mensuel Metal Hurlant et la maison d’édition Les Humanoïdes Associés avec Jean Giraud et Jean-Pierre Dionnet, en 1974.
L’album La Nuit est un ovni dans l’oeuvre de Druillet, lui-même déjà ovni dans la BD !
Désespéré, anarchiste, nihiliste, nietzschéen dans sa description d’une humanité en perdition, assommée par la drogue, et n’ayant plus d'échappatoire possible, le monde de La Nuit est proche de la fin. Dans le même temps où il écrit et dessine cette histoire, Druillet accompagne sa femme prisonnière d’une maladie dont l’issue sera fatale. Cette trajectoire parallèle entre une souffrance toute personnelle et une œuvre artistique conséquente aidera Druillet à exorciser sa douleur et conférera à la BD une place unique.
La Nuit, par son aspect personnel, demeure une bande dessinée hors normes dans le travail de Druillet. Mais c’est aussi par son découpage efficace et la teneur chromatique revisitée que cette bande dessinée a durablement impacté la BD française d’anticipation.
En 1980, Druillet revient avec une trilogie inspirée de Salammbô de Flaubert. Reprenant l’histoire de la Guerre des Mercenaires (qui opposa la ville de Carthage aux Mercenaires barbares qu’elle avait engagés lors de la première des Guerres Puniques, et qui mécontents de leur solde, décidèrent de se retourner contre elle), Druillet fusionne son héros Lone Sloane avec le héros barbare de Flaubert Mathô, chef des mercenaires Libyens, qui veut détruire Carthage et séduire Salammbô, princesse et fille du roi.
Après Salammbô (et son succès), Druillet se diversifie et créé des séries télés d’animation, réalise des clips vidéo, des décors pour le cinéma et la télé, travaille sur un opéra-rock, etc
Eclectique, touche à tout férocement moderne et novateur, Philippe Druillet est un inventeur constant, armée d’une culture visuelle impressionnante, ce qui lui confère cette capacité à évoluer sans encombre dans plusieurs domaines et de savoir les mêler !

DRUILLET Philippe

Philippe DRUILLET est un dessinateur et scénariste français de bande dessinée.
Né à la fin de l’Occupation Allemande, de deux parents fascistes, Philippe Druillet passe sa prime enfance en Allemagne puis en Espagne, où ses parents se sont enfuis pour échapper aux condamnations pour collaboration auxquelles leurs actions les ont exposés. Ce n’est que plus tard que Druillet découvrira ce lourd passé familial.
A la mort de son père, en 1952, il rentre en France, remplit ses cahiers de dessins, adore le cinéma des années 30, découvre la science-fiction… En résumé, il forme le futur artiste qu’il va devenir ! D’abord photographe, c’est au Service Cinématographique des Armées qu’il sert son pays entre 1964 et 1965, il s’oriente ensuite vers le dessin.
Sa première bande dessinée paraît chez Losfeld en 1966 : Le Mystère des adîmes met en scène celui qui sera son héros de toujours Lone Sloane. Ce premier opus lui permet de devenir illustrateur, notamment pour des couvertures de romans policiers ou de science-fiction.
En 1969, il publie les premières planches d’Yragaël (mettant toujours en scène Lone Sloane) dans Pilote. Il introduit des décors réalisés en images de synthèse, apporte un côté baroque et flamboyant à son style, tout en inventant des mises en page modernes. En désaccord avec la ligne éditrice de Pilote (et notamment avec Gosciny), il fonde le mensuel Metal Hurlant et la maison d’édition Les Humanoïdes Associés avec Jean Giraud et Jean-Pierre Dionnet, en 1974.
L’album La Nuit est un ovni dans l’oeuvre de Druillet, lui-même déjà ovni dans la BD !
Désespéré, anarchiste, nihiliste, nietzschéen dans sa description d’une humanité en perdition, assommée par la drogue, et n’ayant plus d'échappatoire possible, le monde de La Nuit est proche de la fin. Dans le même temps où il écrit et dessine cette histoire, Druillet accompagne sa femme prisonnière d’une maladie dont l’issue sera fatale. Cette trajectoire parallèle entre une souffrance toute personnelle et une œuvre artistique conséquente aidera Druillet à exorciser sa douleur et conférera à la BD une place unique.
La Nuit, par son aspect personnel, demeure une bande dessinée hors normes dans le travail de Druillet. Mais c’est aussi par son découpage efficace et la teneur chromatique revisitée que cette bande dessinée a durablement impacté la BD française d’anticipation.
En 1980, Druillet revient avec une trilogie inspirée de Salammbô de Flaubert. Reprenant l’histoire de la Guerre des Mercenaires (qui opposa la ville de Carthage aux Mercenaires barbares qu’elle avait engagés lors de la première des Guerres Puniques, et qui mécontents de leur solde, décidèrent de se retourner contre elle), Druillet fusionne son héros Lone Sloane avec le héros barbare de Flaubert Mathô, chef des mercenaires Libyens, qui veut détruire Carthage et séduire Salammbô, princesse et fille du roi.
Après Salammbô (et son succès), Druillet se diversifie et créé des séries télés d’animation, réalise des clips vidéo, des décors pour le cinéma et la télé, travaille sur un opéra-rock, etc
Eclectique, touche à tout férocement moderne et novateur, Philippe Druillet est un inventeur constant, armée d’une culture visuelle impressionnante, ce qui lui confère cette capacité à évoluer sans encombre dans plusieurs domaines et de savoir les mêler !

DRUILLET Philippe

Philippe DRUILLET est un dessinateur et scénariste français de bande dessinée.
Né à la fin de l’Occupation Allemande, de deux parents fascistes, Philippe Druillet passe sa prime enfance en Allemagne puis en Espagne, où ses parents se sont enfuis pour échapper aux condamnations pour collaboration auxquelles leurs actions les ont exposés. Ce n’est que plus tard que Druillet découvrira ce lourd passé familial.
A la mort de son père, en 1952, il rentre en France, remplit ses cahiers de dessins, adore le cinéma des années 30, découvre la science-fiction… En résumé, il forme le futur artiste qu’il va devenir ! D’abord photographe, c’est au Service Cinématographique des Armées qu’il sert son pays entre 1964 et 1965, il s’oriente ensuite vers le dessin.
Sa première bande dessinée paraît chez Losfeld en 1966 : Le Mystère des adîmes met en scène celui qui sera son héros de toujours Lone Sloane. Ce premier opus lui permet de devenir illustrateur, notamment pour des couvertures de romans policiers ou de science-fiction.
En 1969, il publie les premières planches d’Yragaël (mettant toujours en scène Lone Sloane) dans Pilote. Il introduit des décors réalisés en images de synthèse, apporte un côté baroque et flamboyant à son style, tout en inventant des mises en page modernes. En désaccord avec la ligne éditrice de Pilote (et notamment avec Gosciny), il fonde le mensuel Metal Hurlant et la maison d’édition Les Humanoïdes Associés avec Jean Giraud et Jean-Pierre Dionnet, en 1974.
L’album La Nuit est un ovni dans l’oeuvre de Druillet, lui-même déjà ovni dans la BD !
Désespéré, anarchiste, nihiliste, nietzschéen dans sa description d’une humanité en perdition, assommée par la drogue, et n’ayant plus d'échappatoire possible, le monde de La Nuit est proche de la fin. Dans le même temps où il écrit et dessine cette histoire, Druillet accompagne sa femme prisonnière d’une maladie dont l’issue sera fatale. Cette trajectoire parallèle entre une souffrance toute personnelle et une œuvre artistique conséquente aidera Druillet à exorciser sa douleur et conférera à la BD une place unique.
La Nuit, par son aspect personnel, demeure une bande dessinée hors normes dans le travail de Druillet. Mais c’est aussi par son découpage efficace et la teneur chromatique revisitée que cette bande dessinée a durablement impacté la BD française d’anticipation.
En 1980, Druillet revient avec une trilogie inspirée de Salammbô de Flaubert. Reprenant l’histoire de la Guerre des Mercenaires (qui opposa la ville de Carthage aux Mercenaires barbares qu’elle avait engagés lors de la première des Guerres Puniques, et qui mécontents de leur solde, décidèrent de se retourner contre elle), Druillet fusionne son héros Lone Sloane avec le héros barbare de Flaubert Mathô, chef des mercenaires Libyens, qui veut détruire Carthage et séduire Salammbô, princesse et fille du roi.
Après Salammbô (et son succès), Druillet se diversifie et créé des séries télés d’animation, réalise des clips vidéo, des décors pour le cinéma et la télé, travaille sur un opéra-rock, etc
Eclectique, touche à tout férocement moderne et novateur, Philippe Druillet est un inventeur constant, armée d’une culture visuelle impressionnante, ce qui lui confère cette capacité à évoluer sans encombre dans plusieurs domaines et de savoir les mêler !

DRUILLET Philippe

Philippe DRUILLET est un dessinateur et scénariste français de bande dessinée.
Né à la fin de l’Occupation Allemande, de deux parents fascistes, Philippe Druillet passe sa prime enfance en Allemagne puis en Espagne, où ses parents se sont enfuis pour échapper aux condamnations pour collaboration auxquelles leurs actions les ont exposés. Ce n’est que plus tard que Druillet découvrira ce lourd passé familial.
A la mort de son père, en 1952, il rentre en France, remplit ses cahiers de dessins, adore le cinéma des années 30, découvre la science-fiction… En résumé, il forme le futur artiste qu’il va devenir ! D’abord photographe, c’est au Service Cinématographique des Armées qu’il sert son pays entre 1964 et 1965, il s’oriente ensuite vers le dessin.
Sa première bande dessinée paraît chez Losfeld en 1966 : Le Mystère des adîmes met en scène celui qui sera son héros de toujours Lone Sloane. Ce premier opus lui permet de devenir illustrateur, notamment pour des couvertures de romans policiers ou de science-fiction.
En 1969, il publie les premières planches d’Yragaël (mettant toujours en scène Lone Sloane) dans Pilote. Il introduit des décors réalisés en images de synthèse, apporte un côté baroque et flamboyant à son style, tout en inventant des mises en page modernes. En désaccord avec la ligne éditrice de Pilote (et notamment avec Gosciny), il fonde le mensuel Metal Hurlant et la maison d’édition Les Humanoïdes Associés avec Jean Giraud et Jean-Pierre Dionnet, en 1974.
L’album La Nuit est un ovni dans l’oeuvre de Druillet, lui-même déjà ovni dans la BD !
Désespéré, anarchiste, nihiliste, nietzschéen dans sa description d’une humanité en perdition, assommée par la drogue, et n’ayant plus d'échappatoire possible, le monde de La Nuit est proche de la fin. Dans le même temps où il écrit et dessine cette histoire, Druillet accompagne sa femme prisonnière d’une maladie dont l’issue sera fatale. Cette trajectoire parallèle entre une souffrance toute personnelle et une œuvre artistique conséquente aidera Druillet à exorciser sa douleur et conférera à la BD une place unique.
La Nuit, par son aspect personnel, demeure une bande dessinée hors normes dans le travail de Druillet. Mais c’est aussi par son découpage efficace et la teneur chromatique revisitée que cette bande dessinée a durablement impacté la BD française d’anticipation.
En 1980, Druillet revient avec une trilogie inspirée de Salammbô de Flaubert. Reprenant l’histoire de la Guerre des Mercenaires (qui opposa la ville de Carthage aux Mercenaires barbares qu’elle avait engagés lors de la première des Guerres Puniques, et qui mécontents de leur solde, décidèrent de se retourner contre elle), Druillet fusionne son héros Lone Sloane avec le héros barbare de Flaubert Mathô, chef des mercenaires Libyens, qui veut détruire Carthage et séduire Salammbô, princesse et fille du roi.
Après Salammbô (et son succès), Druillet se diversifie et créé des séries télés d’animation, réalise des clips vidéo, des décors pour le cinéma et la télé, travaille sur un opéra-rock, etc
Eclectique, touche à tout férocement moderne et novateur, Philippe Druillet est un inventeur constant, armée d’une culture visuelle impressionnante, ce qui lui confère cette capacité à évoluer sans encombre dans plusieurs domaines et de savoir les mêler !

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